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Elus communistes Aulnay-sous-Bois

23 janvier 2009

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27 novembre 2008

Jour après jour la droite aulnaysienne déborde dans ses propos !

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C'est avec stupéfaction et  consternation que nous avons pris connaissance des propos de l'article paru sur le site de l'association du député M. GAUDRON "Réussir l'avenir ensemble".

Comment avec de tels propos,  insultant pour toute une partie de la population aulnaysienne, peut-on construire cet avenir ensemble ? Nous condamnons fermement de tels procédés et propos.

Quel but recherché en écrivant cela ? Que cache t-on derrière ces propos diffamants ?
Faut-il mettre cet évènement sur le compte d'un alignement sur les propos du président de la république dans son discours de Dakar en 2007, sur son refus de condamner le passé colonial,  sur la chasse aux immigrés qu'il réclame de son ministre Hortefeux, sur son alignement sur la vision américaine du choc des civilisations.

Autant de questions qui nous interrogent sur les convictions et l'attitude de la droite et de ses représentants nationaux ou locaux.

Aucun respect et aucune tolérance vis-à-vis de l'autre, ces valeurs seraient t-elles perdues dans cet esprit revanchard qui anime l'opposition municipale aujourd'hui ?

Non, M. Gaudron vos amis ont nettement mordu le trait, il faut les rappeler à l'ordre. Des excuses s'imposent, nous sommes persuadés que vous ne partager pas ces propos.

Les interprétations et les allusions ne sont pas dignes d'individus qui se disent républicain.

Les autorités algériennes qui ont reçu M.Laouedj et la population aulnaysienne issue de cette région ne peuvent que se sentir méprisées par de tels propos.

Nous apportons toute notre solidarité à M. Laouedj, Adjoint au Maire et le soutenons dans toutes initiatives visant à réparer ces propos, qui ne sont déjà plus réparable. Car on a blessé un homme et la dignité de tout un pays.

24 novembre 2008

le travail le dimanche : "yes, week-end !"

Les positions s'éclaircissent sur le travail du dimanche, quelques députés UMP disent ce qu'ils pensent vraiment sur ce projet de loi.

Au dernier conseil municipal du 20 novembre nous nous sommes nettement exprimés sur ce sujet, à travers l'intervention de Xavier Toulgoat.

Pour nous c'est NON, pas de travail le dimanche et pas de dérogations supplémentaires. Nous ne sommes pas pris entre le marteau et l'enclume, comme le signifie le 1er adjoint M. Benjana. Nous sommes face à un choix de société précise Miguel Hernandez et ce choix nous l'assumons complètement.

Lorsque nous sommes gestionnaires, il faut savoir assumer ses choix et convictions politiques, c’est ce que nous faisons.

Les arguments développés par les enseignes, sur un CA plus 10% lors de ces ouvertures, ne profitent nullement aux salariés concernés.

On ne réglera pas l’augmentation du pouvoir d’achat des français en les faisant travailler le dimanche.

Il est vrai également que la loi actuelle n’est pas bonne, par ce que beaucoup d’enseignes arrivent à la contourner ou se résignent à payer des amendes pas très dissuasives puisque les gains sont énormes.

L'activité dominicale se justifie seulement quand il s'agit de services aux personnes ne pouvant être différés.

21 novembre 2008

le travail dominical n’est qu’une des réponses libérales de plus

Offrir à la clientèle la possibilité de faire ses achats à n’importe quelle heure et n’importe quel jour dans la semaine est devenu un projet en vogue. Pour ce faire, de nombreuses enseignes n’hésitent pas à influencer le gouvernement.

Travail_Dimanche


le secrétaire d’Etat chargé de la Consommation, Luc Chatel avait dénoncé à Thiais (Val-de-Marne) "l’absurdité de la législation" sur le travail dominical lors d’une visite au centre commercial Thiais Village, où sévit une bataille juridique sur ce sujet. Les syndicats protestent, les enseignes ont épuisé leurs nombres d’autorisations préfectorales et sont soumis à des astreintes s’ils ne se conforment pas à la loi.

Elles invoquent la concurrence et le potentiel de chiffre d’affaires additionnel qu’ils espèrent faire, si les horaires de fermeture se font plus tardifs et si tout le monde travaille le dimanche.

Ces mêmes entreprises font le choix de ne pas embaucher de nouveaux travailleurs, préférant lisser l’effectif en fonction de la fréquentation du magasin.

De manière générale, l’extension des horaires a effectif constant est porteuse d’un risque d’augmentation de la pression au travail.

Les nombreuses expériences démontrent que le changement d’horaire des travailleurs a de nombreuses conséquences tant sur les temps dits « hors travail » que sur les temps de travail.

La première conséquence, pour les salariés, est financière. A laquelle, s’ajoutent des effets moins « mesurables » mais tout aussi néfastes : une difficulté croissante d’assumer sa vie de famille notamment avec des enfants.

Ces conséquences sont d’autant plus préjudiciables qu’elles touchent une population à la rémunération particulièrement faible.

Certains salariés devront donc probablement se livrer à des arbitrages financiers encore plus difficiles.

Ce changement d’habitude de la société de consommation n’est pas sans conséquence pour les travailleurs et la société.

les sondages à ce sujet disent ce que l’on souhaite leur faire dire. Chaque lobby d’enseignes en abuse pour influencer l’opinion publique.

De plus, le travail dominical dans les enseignes très souvent situées dans les centres commerciaux et établies en périphérie des villes, entraînera la "destruction de centaines de milliers d’emplois stables dans les petits commerces indépendants de centre ville.

Les élus communistes considèrent que le nombre d’autorisations en vigueur suffisent et concernent des périodes d’activités bien précises. Nous considérons également que ce type de demandes d’ouvertures exceptionnelles ouvrent la porte au travail du dimanche de manière insidieuse. Pour ces raisons nous ne donnerons pas un avis favorable aux deux demandes. Sachant que la délibération numéro 50 est sur un autre sujet. Mais pour nous la logique reste la même.

13 novembre 2008

Délégation aux anciens combattants, ou en est-on ?

photo_Marie_Jeanne_BLOGC’est avec beaucoup de plaisir et d’honneur que j’ai accepté la délégation aux anciens combattants.

Notre première rencontre officielle a eu lieu lors de la commémoration de la déportation le 27 avril, mais celle qui marquera le réel départ de ma délégation reste celle du 8 mai. Ce jour là, avant les cérémonies officielles, j’ai accompagné les associations d’anciens combattants afin de déposer les gerbes au nom de la municipalité sur les stèles des maréchaux de la Deuxième Guerre mondiale. J’ai alors pris conscience de leurs attentes, plus particulièrement sur l’entretien et l’aménagement des monuments commémoratifs, matérialisation nécessaire du souvenir. Après concertation avec les présidents d’associations, les rénovations du Monument aux morts, de la stèle au Général Leclerc, de la statue de la République et des tombes du carré militaire sont entreprises. Nous poursuivrons ces actions en 2009.

D’autre part, ma principale volonté est de redonner vie aux commémorations et d’y associer l’ensemble de la population aulnaysienne. Ces cérémonies représentent un des symboles de l’identité nationale que nous devons transmettre aux jeunes générations. Le 11 novembre 2008, un premier pas a été fait à Aulnay avec la participation d’une classe de 1ère du lycée Jean Zay. Trois élèves ont lu des lettres de Poilus et tous les élèves ont chanté la Marseillaise a capela.

Mon vœu est de poursuivre la réflexion afin de transmettre la mémoire vers les jeunes et témoigner sans cesse la reconnaissance due aux anciens combattants.

Je remercie les anciens combattants pour l’accueil qu’ils m’ont réservé.

Marie-Jeanne QUEUREL

Maire adjointe, chargée des fêtes et cérémonies et aux anciens combattants

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4 novembre 2008

Ils ont osé, la retraite à 70 ans !

Cela c’est passé dans la nuit de vendredi à samedi, alors que l’assemblée examinait, en première lecture, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2009, présenté par Xavier Bertrand, notre innénarable ministre du travail.

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Ils ont remis en cause, l’obligation de départ en retraite à 60 ans, suite à un amendement du député UMP Denais Jacquat. Ce trés rétrograde député UMP, définit ainsi son amendement : "Il n’est plus acceptable, aujourd’hui, qu’un homme ou un femme, agé de 65 ans soit mis à la retraite, contre son gré, du seul fait de son age, alors qu’il n’a pas forcément, toutes ses annuitées d’assurances, ou qu’il souhaiterait prolonger son activitée, pour améliorer sa pension" .

Xavier Bertrand, ce ministre du chômage et de la précarité, qui n’est pas à une démagogie près, a pris comme argument, l’exemple de Guy Roux, l’ancien entraineur de foot d’Auxerre, qui avait refuser de faire valoir ses droits de départ à la retraite à 65 ans pour continuer à exercer son travail (quel bel exemple). L’hypocrisie et le mépris envers la France qui travaille et qui souffre n’a plus de limites.

Alors que le chômage augmente, que des jeunes sont sans emploi, sans avenir, on propose aux vieux de travailler jusqu’à épuisement, pourquoi pas jusqu’à ce que mort s’en suive, comme cela plus de problème de retraite et ça coûtera moins cher.

Alors que l’on vient de dilapider des dizaines de milliards, pour venir au secours des banquiers, cet argent que l’on a volé et escroqué au peuple, mis à la dispisition de ceux qui créent chaque jour un peu plus de pauvreté, on s’apprête insidieusement à remettre en cause une autre conquête sociale, pour cause de manque de financement.

Après les 60 heures par semaine, le travail le dimanche et jours fériés, voici la retraite à 70 ans comme "mesure sociale".

31 octobre 2008

Conseils de Quartiers : Mode d'emploi !

Pour mieux vous aider à comprendre le fonctionnement des futurs conseils de quartiers, nous avons élaboré pour vous un schéma et un tableau explicatifs.

ouvrir le fichier pdf

Fonctionnement_des_Conseils_de_Quartiers

democratie

27 octobre 2008

Assurance chômage des députés, ce que vous devez savoir !

L’allocation d’aide au retour à l’emploi (AARE), est un dispositif spécifique d’assurance chômage à l’instar de ce qui existe pour les salariés du secteur privé, les députés ne relevant pas, en effet, du régime des Assedic.

Ce dispositif d’allocation comporte 4 caractéristiques :

  • L’allocation est versée aux anciens députés sans emploi et à eux seuls, cela en application des décisions prises en 2003 et précisées en 2007,
  • L’allocation repose sur le principe de solidarité entre les députés. Le dispositif est financé par une cotisation – 0,5 % de l’indemnité parlementaire de base – prélevée chaque mois à cet effet sur l’indemnité parlementaire des députés en fonction et reversée au Fonds de garantie de ressources des anciens députés.
  • L’allocation est temporaire et dégressive. L’allocation est versée pendant une durée maximum de 3 ans. Le montant du plafond représente 100 % de l’indemnité parlementaire de base pendant les 6 premiers mois, 70 % pendant le 2e semestre, 50 % pendant le 3e semestre, 40 % pendant le 4e semestre, 30 % pendant le 5e semestre, puis 20 % pendant le dernier semestre.
  • L’allocation est différentielle. L’allocation est égale à la différence entre un pourcentage - dégressif dans le temps - de l’indemnité parlementaire et le total des ressources personnelles de l’allocataire. Les indemnités liées à l’exercice de fonctions ou de mandats locaux, comme les autres revenus de quelque nature qu’ils soient, sont ainsi déduits du montant de l’allocation.

Bilan, plus d’un an après la mise en œuvre du dispositif :

Nombre d’anciens députés bénéficiaires du dispositif :

  • 30 de juillet à décembre 2007
  • 15 de janvier 2008 à juin 2008
  • 9 depuis juillet 2008

Montants versés au cours du 2e semestre 2008 :

  • de 574 € à 2713 € (maximum) par mois
  • 1682 € en moyenne par mois
  • 4 anciens députés concernés par le montant maximum

Pour en savoir plus site Assemblée Nationale

27 octobre 2008

les élus communistes s'inquiétent de la décision du président de la république de suprimmer la taxe professionelle

Si on supprime la taxe professionnelle, quels seront les moyens d'investissements des collectivités ?

Les Maires de Grandes Villes s’alarment de l’annonce, par le Président de la République, de l’exonération définitive de taxe professionnelle des investissements nouveaux qui seraient réalisés à partir du 23 octobre 2008 jusqu’au 31 décembre 2009.

Cette annonce anticipe très vraisemblablement une suppression pure et simple de la part de la taxe professionnelle assise sur les immobilisations, soit plus de 80 % des bases actuelles de cet impôt. Cette décision, lourde de conséquences pour les communes et leurs EPCI, dont la TP est la première source de financement, est prise sans qu’aucune concertation n’ait été engagée avec les élus locaux, tant sur le principe que sur les ressources de remplacement.

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Pourtant, le Gouvernement avait assuré le 10 juillet dernier, lors de la Conférence Nationale des Exécutifs, qu’aucune réforme ne serait décidée tant qu’une concertation approfondie n’aurait pas eu lieu avec les associations d’élus.

L’annonce d’une nouvelle exonération est toujours une mauvaise nouvelle pour les collectivités. En effet, les compensations d’exonération ne durent jamais longtemps, l’Etat utilisant systématiquement ces remboursements pour ajuster son propre budget. Ainsi, le PLF 2009 prévoit de réduire de 23 % les compensations d’exonérations fiscales de taxe professionnelle et de taxe sur le foncier bâti dues par l’Etat aux collectivités locales.

« On peut s’interroger » déclare Michel Destot, président de l’Association des Maires de Grandes Villes de France, député, maire de Grenoble « sur la cohérence d’une politique qui d’un côté présente le soutien à l’investissement comme sa priorité, et qui de l’autre réduit drastiquement les capacités financières des collectivités locales. Or, les collectivités locales qui sont à l’origine de 73 % des dépenses d’équipement public soutiennent l’activité économique et l’emploi, dans des secteurs non délocalisables, comme le bâtiment et les travaux publics » souligne le président de l’Association des Maires de Grandes Villes de France.

23 octobre 2008

Guy Môquet, le courage d’un combat

Texte paru en Mai 2007 dans le journal l'Humanité

Hommage . Le souvenir du jeune résistant communiste sera honoré. Sa dernière lettre à sa famille sera lue à tous les lycéens. Nicolas Sarkozy investit le terrain de la mémoire…

La décision a été annoncée, mercredi, par le président de la République, aussitôt après son installation, lors d’une cérémonie d’hommage aux 35 jeunes résistants fusillés à la Cascade du Bois de Boulogne (voir ci-contre). La dernière lettre du jeune résistant communiste Guy Môquet, fusillé par les Allemands le 22 octobre 1941, sera lue au début de chaque année scolaire dans tous les lycées de France. « Je crois essentiel d’expliquer à nos enfants ce qu’est un jeune Français », a justifié Nicolas Sarkozy. « Soyez fiers de la France au nom de laquelle ils sont morts », a-t-il lancé à l’adresse des jeunes générations, invoquant le souvenir de jeunes résistants « pour lesquels la France comptait davantage que leur parti ou leur église ».

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exécuté par les nazis à dix-sept ans

Maintes fois évoqué par le chantre de « l’immigration choisie » et de « l’identité nationale » durant la campagne présidentielle, l’élève du lycée Carnot, militant de la Jeunesse communiste, assassiné par les nazis à dix-sept ans, est donc honoré, aujourd’hui, par un président de la République soucieux d’effacer son image d’homme de division. Trois grands résistants, Serge Ravanel, Daniel Cordier et Raymond Aubrac, tout en rappelant leur distance à l’égard de Nicolas Sarkozy, se sont félicités de cette initiative, en souhaitant que le parcours du jeune résistant soit expliqué par les enseignants.

De la « liquidation de mai 68 » à l’exaltation de « l’esprit de la résistance » en passant par la légitimation des conquêtes coloniales, le nouveau chef de l’État entend faire de l’histoire un terrain privilégié de son combat idéologique. Pour reprendre l’expression de Gérard Noiriel, Nicolas Sarkozy « consacre les grands personnages qui ont fonction de le consacrer » (1). « Ce discours mémoriel, poursuit l’historien, a aussi pour but de fabriquer un consensus occultant les rapports de pouvoir et les luttes sociales ». Le combat politique dans lequel s’inscrivait Guy Môquet est, effectivement, gommé dans le discours du président de la République, au profit de l’exaltation de la seule « fierté de la France » qui aurait guidé, selon lui, le jeune résistant. Exit, la lutte antifasciste, l’internationalisme, l’idéal d’émancipation humaine, d’égalité, de démocratie, qui l’animaient.

En outre, seule la responsabilité de « la Gestapo » est ici stigmatisée. Si l’historien Max Gallo l’a soulignée, en revanche, Nicolas Sarkozy passe totalement sous silence la responsabilité de la police et du gouvernement de Vichy. L’évocation du rôle joué par des Français dans l’assassinat des jeunes résistants honorés aurait terni le récit national héroïque et lisse que souhaite écrire le nouveau président de la République. Pourtant, ce sont bien des policiers français, à la recherche de militants communistes clandestins, qui arrêtent Guy Môquet, le 13 octobre 1940, au métro Gare de l’Est. Avant de le passer à tabac pour tenter de lui extorquer les noms des camarades de son père, le député communiste du 17e arrondissement, Prosper Môquet, arrêté un an plus tôt, déchu de son mandat et déporté en Algérie.

une liste d’otages

à fusiller

Incarcéré à Fresnes, puis à Clairvaux, Guy Môquet est finalement transféré, avec d’autres militants communistes, au camp de Châteaubriant. Le 20 octobre 1941, le Feldkommandant Karl Hotz est abattu à Nantes par trois résistants communistes : deux Français, Marcel Bourdarias et Gilbert Brustlein, et un « immigré », l’Italien Spartaco Guisco. En guise de représailles, les autorités nazies soumettent au ministre de l’Intérieur de Pétain, Pierre Pucheu, une liste d’otages à fusiller. Ce dernier parlemente, sélectionne les communistes, « pour éviter de laisser fusiller 50 bons Français ». Deux jours plus tard, dans la carrière de la Sablière, à la sortie de Châteaubriant, 27 résistants sont assassinés, parmi lesquels Guy Môquet. Ceux que les représentants du gouvernement de Vichy considérent comme de « mauvais Français » tombent en s’écriant « Vive la France ! » Une France qu’ils rêvaient, comme les « étrangers » de l’Affiche rouge, débarrassée du poison de la peur et de la haine de l’autre.

(1) Gérard Noiriel, les Usages de l’histoire dans le discours public de Nicolas Sarkozy, texte publié sur le site Internet du Comité de vigilance face aux usages publics de l’histoire.

Rosa Moussaoui

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